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VI
Et, tout secoué de sanglots,
J’ai tiré doucement la porte ;
Et, tout secoué de sanglots,
Sur le seuil j’ai gravé ces mots :
« C’est ici que gît le meilleur
De ma Jeunesse à jamais morte,
C’est ici que gît le meilleur,
Le plus pur lambeau de mon cœur. »
VII
Adieu donc, cher petit Parson !
Adieu, pays de mon Enfance !
Adieu donc, cher petit Parson,
Vieux amis et vieille maison !
Votre gâs, demain, s’en ira
En exil, au pays de France,
Votre gâs, demain, s’en ira :
Seul, Dieu sait quand il reviendra !…