Page:Botrel - Contes du lit-clos, 1912.djvu/151

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… Mais, coût à coup, le grand Soleil
Parut à l’horizon vermeil,
Monta vers la Toute-Puissance…
Et, mes deux sabots à la main,
J’ai bondi sur le grand Chemin,
Hurlant un hymne d’Espérance

Route immense qu’avec effort
Arpentent les Races humaines,
Je te suivrai jusqu’à la Mort
…Jusqu’Où tu nous mènes !…








(Il existe une musique de scène de Ch. de Sivry — G. Ondet, éditeur.)