Quel son lamentable et sauvage
Va sonner l’heure de l’adieu !
La mer roule sur le rivage,
Moqueuse, et se souciant peu
Que ce soit l’heure de l’adieu.
Des oiseaux passent, l’aile ouverte,
Sur l’abîme presque joyeux ;
Le soleil dore la mer verte, —
Et je saigne silencieux
En regardant briller les cieux.