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Page:Bouchor - Les Poëmes de l’amour et de la mer, 1876.djvu/22

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Dans mes nuits sans sommeil je ne vois plus rien qu’elle,
Telle qu’elle a passé devant mes yeux, si belle
Avec ses grands cheveux royalement tordus ;

Blanche comme l’écume éclatante des vagues,
Et fixant sur mes yeux ses yeux charmants et vagues
Qui reflètent la mer et le ciel confondus.