Page:Bouchor - Les Poëmes de l’amour et de la mer, 1876.djvu/28

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Toi que transfiguraient la jeunesse et l’amour,
Tu m’apparus alors comme l’âme des choses ;
Mon cœur vola vers toi, tu le pris sans retour,
Et du ciel entr’ouvert pleuvaient sur nous des roses.