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Page:Bouchor - Les Poëmes de l’amour et de la mer, 1876.djvu/36

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IX.

I

La mer tranquille et grande, reine
Trônant parmi les horizons,
Dorée au soleil et sereine,
Pleine de profondes chansons ;

Et les flots venant mourir, presque
À nos pieds, chantants et joyeux :
Le spectacle est très-pittoresque,
Feront observer des bas-bleus.