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Page:Bouchor - Les Poëmes de l’amour et de la mer, 1876.djvu/35

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Sans cesse mes baisers réchaufferont tes mains,
Et j’ensemencerai de roses les chemins
Où tu devras passer — pour t’embaumer la vie.

Et des musiciens invisibles seront
Toujours prêts à fêter ton oreille ravie,
Si quelque léger pli se formait sur ton front.