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Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/15

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L’HEUREUX ACCIDENT.



CONTE.


CE bon M. Lambert était sorti de chez lui un beau jour d’automne à quatre ou cinq heures du soir, suivant son habitude, avec son fusil en bandoulière, sans aucun projet hostile et son livre à la main. Ce jour-là c’était Montagne, le meilleur ami de tous ses lecteurs, qui nous montre à