Aller au contenu

Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/33

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

et finit par s’élancer dans la calèche, ne sachant quelle fête faire à sa maîtresse. — Madame, jugez-en par vous-même, ajoute M. Lambert, qu’est-ce que Tibulle ou Properce trouveraient de mieux en pareille circonstance ? Car enfin chacun parle sa langue, et la faute est à qui ne l’entend pas.

La dame et son nouveau cocher arrivent ainsi, l’un menant l’autre, à Tourneval ; l’heure et l’éloignement ne permettaient pas au philosophe de retourner à Cherazile ; c’é-