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Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/34

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tait sa demeure, et son aimable hôtesse l’aurait encore moins permis. On suppose bien que le premier soin de la dame du logis, en arrivant chez elle, a été de faire préparer l’appartement le plus commode du château pour son cocher, et l’on ne s’étonnera pas qu’elle l’y conduise elle-même. Il sent en y entrant je ne sais quel contentement qu’elle a déjà remarqué. — Si vous désirez quelque chose, lui dit-elle, ordonnez. — Et que peut-on désirer ici, dit M. Lambert avec émotion ? Que peut-on