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Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/65

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mence bien et l’on continue de même. Les différences d’âge et de fortune ne me font rien. Mais laissons cette petite personne-là pour ce qu’elle est, et parlons de vous qui m’intéressez au moins autant qu’elle. Vous avez sûrement suivi une carrière ? — Oui, comme tant d’autres. — Et pourquoi y avez-vous renoncé ? — C’est que j’étais, comme tant d’autres, humilié de ne pas avancer comme tant d’autres. J’ai fait mon devoir ; mais je ne l’ai fait que par devoir ; et soit que je n’eusse pas as-