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Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/73

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les malheureux habitans de mes terres, en constructions de greniers d’abondance, en aumônes aux pauvres, en avances aux laboureurs, en prêts à mes voisins. — Vous dûtes être le dieu du canton. — J’eus la sottise de m’en flatter un moment ; mais la reconnaissance dure autant que l’intérêt, et ne lui survit pas toujours. J’éprouvai mille chicanes absurdes de la part de ceux à qui j’avais fait le plus de bien ; l’argent que j’avais répandu servit sur-tout à plaider contre moi ; les querelles que