Page:Boulenger – Au Pays de Sylvie, 1904.djvu/161

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constance bizarre — son corps entra immédiatement en décomposition.

« — Parbleu, avouait plus tard M. Choudens à son disciple Gustave, lequel, repentant et dompté, venait de rentrer en grâce, parbleu ! ce n’est pas étonnant. Le cheval était mort depuis une demi-heure. Tu comprends, ce doping-là est trop énergique, trop violent : il ne faut pas l’appliquer aux animaux vivants, il les tuerait. On ne peut le donner qu’aux morts… »