Page:Boulenger – Au Pays de Sylvie, 1904.djvu/25

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— Et nous reviendrons coucher ensuite chez notre tante Bussat…

— C’est cela ! »

L’abbé, dans le plus grand trouble, balbutia : « Mes enfants, mes chers enfants, que vous êtes bons !… Mais votre projet me paraît bien soudain : madame Bussat ne saura peut-être où vous loger. En outre, elle n’est point prévenue.

— Notre tante Bussat nous donne toujours l’hospitalité quand nous allons à Paris, soit au bal, soit dîner en ville. Cela ne la dérange en rien, et Gilbert va lui téléphoner.

— Mais avez-vous consulté vos parents ? »

Interrogés sur la démarche de leurs enfants, MM. d’Oinèche et de Lorizon ne purent que louer le sentiment délicat