Page:Boulenger – Au Pays de Sylvie, 1904.djvu/26

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

qui la dictait. Et voici comment les jeunes Armand et Gilbert, n’ayant pu se séparer brusquement de leur excellent maître, le conduisirent jusqu’à la gare de Lyon, et n’eurent pas plus tôt vu son train s’éloigner qu’ils sautèrent en fiacre, rentrèrent se mettre en habit chez leur tante Bussat, allèrent au théâtre et finalement firent leur entrée vers minuit et demi chez Maxim, où ils avaient décidé irrévocablement d’attendre le petit jour.