Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/45

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d i"’ PRÉFATJO ? ` ’^ 280 J imco Ixti • i, I rium fou lium Mnna .tu f

¡. K» Anony-Coibei. AUemanis necessituâines vior ft lentias sstvitiamque plurimum k ejusdem juri offecisse. Ob hmc ’A enim degener virtutis pafTum à 01 Francis habitus est, fotjnidàn- a dusque evasU Magnatibus i- ’%«̃ çc ad stunmam libertatem aspira’ qi boni-* In fine autem fut jus Êx- aj cerpuf) :data occasion ? noïamus pi sejt primos tertut s tir pis lièges re curasse, têt filii sui natu-majores, q se vivcntibus, corpnarentur ; sic– m que effecisse ut in fa mi lia sua sùa- fa ret corona, 1 in désuet udinemqu aï apud Francos abirent electiones fô agnatica hereditate firmata. éî /V.VCv/ Jlhcricus Prinei- re pum il lustrior unique familiarum ne stemmata, quant potrst accuratè, gfi descrilnt quod antc Muni priesti- ltî ! tcrat ncmo tic si in aliquibus lu -deprehcnrfitur errassC reniant Pe • tnrretur in tanta rerum mole et tai rognât ionum tcmporumque calt>- la gine. Quidam alii cum i/fso Chro- et, nopraphi inqugurationem Rober- et imo et Hugonis Capcti, re ferre t|H vuUntur od annutn *HM forsan CO quia in ftwnensi Cou vent u, splen- de didiori data tfecasionc uterque pc item m agnitus seu confirmatus de est JRex ; indique apud varias rai Scriptores Remis coronatUs legi- de s tur Robertus Rejc. Cîim atttem œi ^Ibiricms amendât ffUlelmiun de Malmesburiensem t duos tantàm qu filios Odonem scilicet et Nenrir- La cum Roberto Régi tribuehtcm te feliciori satu> censura fuisset usus, de si negasset juniori i majorent fi- Rc Uum indus tria matris in regno He postpositum fuisse. Constantia pn enim, w< dicimus pag. 225, nc*> int dum. faverit Henrico plurimiun coi i/ ?ji nocuit. yoi A’AVYf.. Guido Aretinus y "] Italut Monachus t tii dicitur d’I multi in ter Musicos nominis les Meierèi, que les délais du. Duc Charles, ses trop étroite^ liaisons avec les Allemans, sa violence et sesa uautés ont beaucoup wb^ à son droit. Car ces défauts furent cause, que les Francois le regardèrent comme un Prinee qui dégeneroit de la valeur de ses ancètres, et que les Grands* qui aspiroient à l’indépendance le redoute4rent. A la fin dè cet entrait, nous marquons par occasion que les sk^ preiniers Rois de la troisième race, J en t faisant de leur vivant sacrer leurs fils v aînés fixerent ainsi la Couronne dans «wr maison J ruinerent le pouvoir électif chez les François, et y établirent l’hérédité agnatique. XXXIV. Alberic s’attache à donner le plus exactement qu’il peut les généalogies des Princes et des familles tes plus illustres ce que personne avant lui n’avoit fait. Or si l’on découvre de l’erreur dans quelques-uns de ses détails, il doit trouver son excuse dans la difficulté d’une* pareille entreprise, et, dans l’obscurité épaisse des parentés et des tems. Quelque» autres Chroniqueurs semblent rapporter avec lui le’ ` couronnement de Robert, et même de Hugues Capet à l’année 991 peut être parce que dans le Concile de Reims, l’occasion étant plus favorable que jamais l’un et l’autre furent ) I de nouveau reconnus pour Rois, ou confirmes dans cette dignité ; ci c’est de là qu’on lit dans différents Ecrivains que le Roi Robert fut sacré Ç Reims. La critique df*Alberic eût été plus evac° te, si à l’endroitloii il corrige Guillaume 4 de Malmcsburi, qui ne donne au Roi Robert que deux fils, sçavoir Eudes et Henri il avoit nié que le cadet ait été préféré pour la Royauté à l’aîné, par les intrigues de sa mère. Car Constance comme nous le disons p. 225, loin d’avoir favorisé Henri, ne lui nuisit pas peu. XXXV. Gui d’Arrezio Moine d’Italie, est dit ici très-renommé parmi les Musiciens et préférable aux Philosophes,