Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/46

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• jeptat, m ce qu’il trottai une méthode > plus courte pqjuV apprendre le chant, .pir le moyen des six mates qui Sont r : .ra’t aujourd’hui en usage de sorte ’que ce 1 qu’on pouvoit à peine apprendre auparavant cm dix ont, s’apprenoit nar la suite très-parfiutement en un an, ou tout an plus en deux, comme Oui- lui-même Ven explique dans la- Lettre que nouk représentons pag. 502. Or D. Mabiuon à Paimée 986, rapporte, d’après le Chroniqueur de Corbie, que le premier usage des notes de musique, ou la nouvel le manière de chanter avec !e secours des courbures et des notes, que des rayes et des espaces distinguèrent commença dans ce Monastère, dom les Ant,iphonaires et les Graduels auparavant ne portoient rien de semblable. Ces sortes de notes et de courbures, mais sans petites lignes, se voyent dans le Livre de Ratolde Abbé de Corbie d’où Menard, dans son. Sacramentaire pag. 96, a eu soin d’en taire graver la forme, retracée par D. Mabillon dans l’Append. du Tom. 4 des Ann. Bénéd. pag. 688. Gui a donc perfectionné cet art, et en a rendu l’usage plus facile, en ajoutant des clefs et de petites lignes. r XXXVI. Nous lisons. dans cette pièce et ailleurs qu’un Chevalier ou Noble, lamine Qiutier, -fut pendu pour Cffrne de trahison. Ce crime dégradoit donc de la noblesse car les Gentilshommes autrefois n’étoient point punis de mort pour rebellion ou félonie. XXX VU. Nous apprenons de ce Chroniqueur, qu’Arnoul Comte de Flandres étoit tout-à-fait inférieur en forces ou troupes et en puissance au Duc Hugues Capet, qui lui parla ainsi en maître ,Tel jmw apportez-moi Honnêtement à Montreuil les corps des. Saints [Faleri et Biquier] ; que si vous ne te faites de^bon gré, vous le ferez de force par la suite. Le Duc Hugues Tome X. ̃ : ..• .1 f ~.4% r K~v`~ô~,`~`~`v~ !C ~~¢,,r~ .` ;i’·w..·°~ 4 ~Ÿ, IY ~~k~ ~q r. v a aw r’ ~r·rr.. v.r. ’< • in hoc etiam Philosojphts praeferendusj qttod cohpendiosiorem s*x vulÇares nôUts mdinvenerû ita ut’qvodyix decennio addisci atUeà poterat abkific annali spatio, aux, ut multum, biennio > perfcctè in posteront disceretur f ut ipse dooet Guido in ÈpistoUt quam exhibent** pag* 502. Mabillonùis autem ad annum 9&f>^ refeif ex CAronogrnpho ÏÏttrbeie,md 1 incœptujn esse notarum muswarum primum uswto seu novum canendi mmodum in ilfo Monasterio per-fiexuwas. et .notas per rtgiUas s^tià d&tincttis ciûn nullm antea exstarent M liùris jjntiplionariorum et Gra dualium ejus locL Ejusmodi no f tas et flexuras sed absque lineolis exhibet Codex Ratoldi Ahhatis Corbdensis ex quo Menardus in Sacramentario pag. 96 ectjrpum exqttdi curavit retatum ab eodent • Mabillonio in Jlppentl. Tom. 4 AnnaL Bened. pag ; 688. Artem igitur itlust ravit Guido Aretinus, clavêsqùë #t lineolas majoris JacUitat,is causa adjecit. XWXFÏ. Hic et alibi Militem seu v(rumi .nobîlem norninc (, Galterium vident us patibhlo affixum ob prétàipnem. Jd igitur criminis depell^bat ex jardine ro biliiïm ; qui ollm vei ttiatn re belles et perfidi, morte haud afficmÇantu/ XX/XPil ? Ex hoc Chronographo discimus A r nul f uni c Flartdria^Qimitem yiribus scu armis eÊj^Btmtate omnino intparem fuj^^ËLsoni Capeto Duci à :qu<i^Êjmujnsmo4i dicta seu jussa^^Kme in Monasteriolo corpoi^^Sancioruni [Wallarici ` ~t ~.i~harü NDl ’il’ [WaUarici. et Richarii ] "bonestè mihi deferas quod si spootè non fece-Pac. i ph- «•*• ’i i < } /j– Extraits ] d’une Quoni- i t~C qncdeFfMtca. C1~0 Ulf, l’ag. 293. î»- •- S -i

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