Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/54

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̃ • ^^mÊm^USHM Tr^) ̃̃̃ ̃ ̃ K to«toàk*Àrfe*d«E^o«>M«u oous en présentent un, n&œié Se- .fI. ,> ’¡ ",< ."j. genjfroi, qui ,r* ««, /fc^ **• m* des jù et ^t j«|^t gjnoji enrichir des biens 4e Pfigfise, noos a wnMwrpiolis I» corruption des ra«urs de ce tems-Ià, et les excès oà se portaient «tors des Ecclésiastiques, même ’du premier ordre. « • • XLVHI. Dans la 1* Lettre le Eoi Hugues écrit aînsi à Seguin Archevêque de Sens Ne voulant en rien abuser Je la puissance royale, nous réglons Mutes les affaires de PEtat par le conseil et de Pavis de nos féaux, etc. Plusieurs concluront de là que Hugues Capet établit un Conseil de Princes et de Seigneurs et d’autres peutêtre aimeront mieux trouver ici la Cour des Pairs de France. La 23* Lettre, éaite au nom du même Roi au Marquis Borel montre que la Marche Hispanique n’étoit pas exernpte de troubles et que Borel à l’occasion de la nouvelle domination, vouloit former des entreprises contre la sbuveraineté de nos Hoi$ dans cette contrée. Rtippellez-vous t dit Adalberon fhevêque de Reims au Duc. Chardans la W Lettre^ le conseil que je vous ai donné rfaller trouver les Grands de fiEtat. Car qui étois-je pour donner moi seul un Roi 4u*.r François ? Pareil/es ̃ choses sont des affaires d’Etat, et non des affaires privées. Àdajberon semble insinuer par ces f «rôles, qu’il étoit d’usage alors que nos Rois fussent élus par tes Seigneurs François, iperbert, qui certainement n’a pu set dire Evèquc par la grâce du Siège ÀjAstolique, dans sa profession de foi ne 75, confirme quatre Conciles. Cest qu’alors, c’est-à-dire au x siècle, la coutume étoit que les Evèques élus ou nommés présentassent une <brmuie de confession ou de profession, dans laquelle quelques-uns ne iâisotent mention que de quatre Conciles généraux quoique D. Rivet infère de là peutf. v n i

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j ̃~ > l-« 409. | ̃ ET tammsy pmmtim m*i jfctms P<m~ t ti/femm Cêrncrn*». uMatt EpisoepH tmxflk#m’î qu« peperit w fi4»i et filial, r^ms Ecdesim t ditammos. • /t/ i XtniL i* EpistoU m Hugo Rêx Sigmino Jrckiepiscopo KpfaN i Senonensi tic scribit ,« Regali potentia m nullok)ibuti volentes,

omnia negotia Reipublicae in 

Odnsultatione et sententia fideHum nostrorum disponimus, etc. imde colligent ^nonnutUs ab p«g • Hugone Capeto Principum et » Optimatum 1- Regni institutum esse consilium alii verb curiam Parium Francise malucrint hfc 1 forsan agnoscere. Ejusdem Régis ex persond, Epistola 23% Bo- p^ rello Marchioni, oslendit turbidum ea tempes taie fuisse statum Marcm Hispanicsc, et Borellum consilia agitasse adversus sapremum Regum nostrorum in eam imperium captata nimirùm oc~casione nàvi Principatûs, Recor- h«k. damini, inquit Adalbero Archiepiscopus Remensis Carolo Disci, in Epist. 26", quid consilii dederini super ,adeundis Regni Primatibus. JNam quis erain, ut solus Regem imponerein Francis

? Publica sunt h&c negotia, 

non priva ta. Quibus verbis in~nuere videtur Adàlbero in nstt tune fuisse ut Reges nostri à Francim Proceribus digèrent ur. Gerbertus9 qui certè non potuit se dkere gratta Sedis ApostolUst EpUcopum, in Professione fidei ii* 75 Synodos quatuor confirmai. De more sciticet tune, id est i steculo x, electi seu nominati Episcopi formulant edebant confessionU seu professionis f in qua