Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/55

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P«». 413. 

( i l l’a* 114 t t Co*cUmrmm Ûemmiium 4m*» taxât quatuor mentionem Jkà*- j J W ntmnuUi qmanqmm recOà* 4 ûm& forum concludit Rivetus i «wter, a* Eoctesia sub finem etiam sxcuU Xy quatuor duntaxat j 1 prima Concilia habita fuisse ut £ Generalia. Plurimos rion A ?/br*y jj <«3. confidimus, quitus in Ep. &5* ad fc {Siguinum Archiep. Se non. et alibi a Gerbertus LH>ertatum ̃ ut vo- o cant Gallicanarum streriuus vi- n deatur assertvr. Huc autem revo- E oamus quidam verba ex Scnnone ri de informatipne Episcoporum bi <inx dignitatem EpiscopaUm m majcimè commendant hoc modo :> ai lsce oves meas. Quas oves, ai, «|uein {,’rcgem, non solùiii tune n( U’atus sustvpit Apostolus ; sed qt vl noliiscuiii cas accepit, et cum il illo cas suaocpiinus oinnes. Un- m< rcjrenda Sacerdotibus con- av %tlmi(ur ; Cette Papa m se re- ra< nÙmiandum non prospiciebat d’a .fuetor cum ad Siguinum Epis- réf tolam srripsit. In ca enim novas ne rt prayudicatas Curiw Romane sui fuiutitus evertit opinion™, il qux bot altos jam egerant radiées. Ihnc (|U< llaronim et alii plerosque inten- Ro dunt 1 nerros pro hocce dUuendo |>er Gerberti scripto auod alioqui aill : 1.4 non rendissent. Sic paràm favet fav< cow, ttitiis Romanorum Pon- Gel tifieum prorogatives srquens ad taie mideroiium Argentin. Episco- CU pu m Epistala, e.v qua :eqi,è ac ex l’au Smodo Rvmvnsi disei m us Reges t|u’i JM/J/rwo //i ^r.fO,i«.f r/ "w EpUm de roporum, nt in subditos, gaudere liOd ^/«//i/o. Ibi/abas Paparum De- foit mWa’ «’ *«»«, Èpûtolas Ileu, perstringit Gerbertm post l/inc- foui /««/•«/« ,#fvw/ ;r Vx <7e/o / ;r«- à ce

  • rr/m/ /^a adstruens, disert- effet

/iW/w .«7/ differentiam esse <ul- liert miftendam ̃• tnttrr Synottalia Con- Décr ’̃m r/ Apvstoliconim virorum ncr ,t. ’f. "¡fÀ~¡ê~r.g.ï~ ;F’ ;t’i.

  • «^ *tre i plus justç titre, que i’%Uge,

j, "1- :8 1, l~~e, r «^- même sitr la fin du x aiéde, regwdoit

  • • comn^ généraux seulement les quatre

premiers Conciles. Noos nous ssu«m» >ns que Gerbert ne manquera pas de «*- paroltre> plusieurs, dans sa tettte à ^ik Seguin Archevêque de Sens, et 4 r<^ lejj«r, t un vaillant défenseur des U«1 bertes, dites Gallicanes. Or nous M* adoptons ici quelques mots du Disw»cours de information Episcoporum y les™quels relevent très-fort la dignité w>- Episcopale Pgis mes brebis. 5. Pierre

    • e ria pas reçu, à notre exclusion, ces bre«,
    • r, ce troupeau ; mais il les a reçus
?m avec nous et nous les avons tous r^çus 

avecjlui. Ainsi leur conduite est confiée s, aux Prêtres. L’Auteur certainement ne ne s’attendoit pas à être Pape, lors ?d qu’il écrivit la Lettre à Seguin. Car m il y détruit totalement les prétentions i- modernes de la Cour de Rome, qui i- avoient dès-lors jetté de profondes racines-. C’est pourquoi Baronius et lt d’autres font tous leurs efforts pour r- réfuter cet Ecrit de Gerbert, qu’ils w ne rapportent qu’à ce dessein. La Lettre J suivante à Vilderode Evèt]ue de Stras*• bourg, d’où nous apprenons, ainsi c que du Concile de Reims, que les Rois ont droit de souveraineté siir les n personnes et les biens des Evoques, i ainsi que sur leurs sujets, n’est pas plus t favorable aux préjugés ultramontains. Gerbert y attaque les Lettres Décrér tales des Papes, comme il les appelle, eu établissant, après Hincmar, sur • .l’autorité sur-tout du I>a,>e Gelase qu’il faut mettre de la distinction ou de la différence entre le* Conciles Synodaux et tes Lettres des Papes. Aussi Baronius, mécontent de toute la teneur de cette Lettre., saisit-il en particulier cet endroit, pour faire sentir à ces deux Archevêques François les effets de sa mauvaise humeur. ÔrGerl»ert ayant pressenti le foible des fausses Décrétâtes, quoiqu’il n’ait pu en donner la véritable ne doit pas