chardus Cornes ab ipsius vit» Scriptore et Hugo Roberti Educator in ejusdem Regis Diplomate anni 997. In secundo S. Theoderici Aurelianensis Episcopi^ vitd narratur eumdem Theodericum ad Curiam juvenili tetate accersitum fidelitate et prudentid ità Roberto fuisse acceptttm ut Rex cœperit ejus uti consiliis, et jura Regalia ei tradcre disponenda. Ex quibusdam verbis Fulbert i ad Leuthericurn Senonensem Archiepiscopum, scribentis colligit eruditus vir D. de Foncemagne Leutlwricum public œ rei administratorctn fuisse sub Roberto Rege. été employé dans les Conseils Robert. Hegis Curiae vel Aulœ nomihe designabantur Proccrum Con vent us in tjuibus jus diccbatur k^ Rege. Ex narrationc restaurationis Abbatiw S. Martini Tornaccnsis Auctore Heriwanno, « Curia Régis Ilardui» ri um Episcopum, » ob turrem Itc•fiam ioviumi eversam « prodĩ> tionis réuni de Rcgno l’raneorurn c.vjiellendurn et exilium subite judicavit ». Apud /•«/•tituiu epi.stolti ,i,l JiHiunern Paxim a (’.ornes ijnidnin tna/e_/uctor} no/nine Hodulp/tus, qui n v Icvlesue per injustam oeeñ Mènent invnserut unuin de ( leru is mttnibus .suis interfeeern. duos alios cap t os sacra mentis, illigavvrat de his unini bus ujipc/latus fuit in Curid lieçts. Fiiho ,errnf Cornes tnJe^neiisis y satellitibus mus 01 remit /aeinoris, pnesente R,ge J ̃ieiil,i pr.rbuemt. Ittujue I-’ulber filial in judieium, ><• se apud I’" (luriam Parium intelligi ’< !•< ! ipstimet v>rs ( àuia, eùrn ̃’ e,i ,/e Pion runi dissitliii corn- ( Tom, 10. p . ibid. P. «a < :«rii Régis. it>id. p m. It’ul. /> 17.1.
i t tl-t<l } Mi’ l’irmiii < !nna i i L ucjgiieur le uire de Conseiller du Roi t attribué aussi dans un Diplôme de Robert à Hugues 1 gouverneur ou précepteur de ce jeune Monarque. On ne peut douter que Thierry depuis Evêque d’Orléans, n’ait été un des Conseillers du Roi Robert dans le tems qu’il vivoit à la Cour l’Auteur de sa vie raconte que ce Prince avoit la plus grande Confiance dans ses conseils et qu’il l’avoit rendu dépositaire des droits de la Couronne ; expressions qui ne peuvent convenir qu’aux Conseillers de nos Rois. M. de Foncemagne pense aussi d’après une lettre de Fulbert que Leuthéric Archevêque de Sens a ou dans le ministère sous le Roi Les Assemblées des Seigneurs où le Roi rendoit la justice, s’appelloient la Cour du Roi Hériman, Abbé de S. Martin de Tournay, raconte dans son Histoire de la restauration de cette Abbaye, que l’Evèque de Noyon Hardouin y fut jugé et condamné à l’exil, pour avoir détruit la tour du Roi dans sa ville épiscopale. Un Comte nommé Rodolphe y fut cité comme coupable d’avoir tué un Clerc, et d’avoir pillé les terres de l’église de Chartres. Fulbert qui nous apprend ce trait dans sa lettre au Pape Jean XIX mande à Foulques iNerra Comte d’Anjou de venir se laver en Justice du crime de leze-Majcsté qu’il la voit commis en lonnant azyle à quelques-uns de ̃ies assaux qui s’ctoieiit» rendus oupables d’un crime atroce en jiésence du Roi même. adnussi reis putruriniiiin et nciptux eum mollit t ut stiituto ttmport legern <lc Afajcstativ ( ri/mue purxaturus-Cette Cour r étoit t la véritable our des /’airs quand il .s’ay issoit le discuter les querelles des H. mis Seigneurs.
