Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 11.djvu/177

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toi», h. p. priori marito filias Fielnmsiet mariées aux Seigneurs de Fielnc* X 303’ EUmbonUnsi Dominis nuptéti d’Alembon -après sa mort, ses. pt^ dederati Çud mortud « aceesse-* nts-fils se présentent pour pu* ] > ruta ad. Elbodonem et ad libe- tager les Alleux de leur grand-nu», » roi ejus Fiehtensés et EUm- te avee le fils. qu’elle avoit eu de ̃ t bonienset de AUodiis qum. ex. son second mari.. Ils sont débouté» > parte Adel», à qud originem de leurs demandes. On leur répond > dureront, tibi oontingert dette- que leurs mères n’a voient plus< dt > bant portionem qumrentes sed droit à la succession d’Adela » cùm Htllodo et sut nulla fui- puis qu’elle avoit changé ses AJlèut 1 » bere vel obtinere Adelm AUudia, en, fiefs, comme nous l’avons »̃ ̃’ > mm Adela dudùm omnia AUo- inan]ué ci-dessus.’ Cet exemple est > dia sua à manu Morinensis d’autant plus singulier, qu’il sem-Episcopi in feodum suscepisset ble que les loix de la successioQ > ut jam diximus omninb dice- aux fiefs, provenus d’Alleux, 1 aurent et constanter assererent raient dû être plus favorables aux » Elemboniensibus acquiescenti- filles, que s’il s’étoit agi de SUCCébus Fielnenset immurmurantes der aux fiefs provenus de bénéfices ̃ et ati tempos sustinentes in lo- militaires. Nous voyons cependant » cum suum recesscrunt ». Attamen ailleurs des femmes hériter des agebatur tantùm de possession i bus fiefs et en disposer. Adelle, Gomet AUodiis in feoda commuta tU, tcsse de Vendôme par sa mere qui non autem de bene/iciis in ipsd étoit sœur et héritière de Rainald, origine militarilms. PUtribus ta- Evètiwe de Paris partage ce CoŒh men in locis in feoda succède- té avec Foulques l’Oison niéconbant, et de Us pro libitu dispo- tente de son fils, elle vend le nehant nohiles feminx. Adela Comté à Geoffroi-Martel.7 -«. il. Vindocini Coinitatum quem froy le Barbu, et Foulques le Réan materna lierai Uate possidtbat chin neveux de ce Comte, SUO* primant cum Jîlio suo Fulcone cèdent à ses Domaines comme partiti.r, deindc Goffrido Mar- représentant leur mere. Aloïa, tello totum ex integro vendit, femme du Comte d’AngouIème ibui p. ut. Eidem Martello avunculo suo celle du Vicomte de Beaune possuccedunt Goisfredus et Fulco sédoient, à titre héréditaire, différenematris sua jûris ricarii. Fron- tes terres seigneuriales. L’épouse de ciacum Castrum Alizia Engolis- Burchard tige des Montmorencis mensis Comitissa plura feoda in iît hommage avec son mari du fief r -m. to. p. Couiitatu Dumeusi ficecomitis de l’isle S. Denis qui lui appar- & 585, ~c,lnensis re.ror, ltereditario jrtre tenoit corurne Douairiere de son Ihlncnsis uxor hereditario jure tenoit comme Douairière de son possidebant. San-Dionysiame In- premier mari. Les, fiefs faisoient suite Castrum ex prioris rnariti aussi partie de la dot des Dames. Geofim,i p 5»3. donhtione pertinekat t ad uxorem froy Seigneur de Chaumont, donne Burcliardi nobilissimx gentis en mariage à sa niece la moitié de Montmorenciorum capitis. Do- Chaumont et de tous ses biens tant ttin (jiwquc nolnlium fuminai uni qu’il vivrait, et la totalité après sa ex frodis const’uisse multa sua- mort. Hugues de Lavardin donn» <1cnt excmpla. Ex gestis Amba- cette Seigneurie à sa fille du preMvnsium Dominorum Gofridus de niier lit, lorsqu’il lui fit épouser «  /• it (’ahxt-monte sororis sua- filix Seigneur de Mayenne. La seconde OH