Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 11.djvu/181

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seçundâ verb, defunctorum patrts d’une manière plus conforme 1 et fratris naUf-ntajoris terra sus- l’usage de son siècle, qu’à celui & ceptâ. Sed cùm Gestorum illo- précédent. L

rum Auctor non scripstrit, nui elapso medio seculo tmdecimo fteri potm ut voccs mtate sud usurpatas seculi superioris usibus accommodaverit. Mutua Senioruin et Vassal- Les engagemens qui résultaient lorura officia ex hominio et fide de la foi et hommage b sont détail* Jiuentia sic définit Fulbtrtus in lés d&ns deux lettre de Fulbert. Ce epùtnld ad ffUMmum, Aqui- prélat dans celle qu’il écrit au Duc tant» Ducem t Qui Domino suo d’Aquitaine les réduit à six : «ww*. Jidelitatem jurât, (inquit Fui- vation sûreté, honnêteté, utilité, 0 » bertus) ista sex in memorià sein- facilité et possibilité c’est-à-dire que per habere débet, incolume le Vassal ne doit porter aucune at» tutur*honestum. utile. teinte à la personne de son Seigneur, » facile et possibile ». Ut autem ne point révéler son secret, ni bentficio dignus vùieri ivlit et préjudiciel- à la sûreté de ses fortesa/vus esse de fidelitate quam resses ne point lui faire de tort, ju/avtt, non satis est f’assal- du côté de sa justice et de ses houlum in his Domino non noce- neurs ni de ses- possessions ne »o. re. (lebt,t insupt.r ri consiin, point lui susciter des obstacles qui et aiixilium (ideliter piiesta- rendroient difficile ou impossible re. « Dominas quoque fideli suo ce qu’il a la facilité ou la possibilité » in his omnibus vicrm. rvddere d’entreprendre et d’exécuter. Mais » drbet. Quod si non feccrit, me- un Vassal n’a pas rempli toute j««» rito censebitur malefidus, sicut cc en ne nuisant pas à son Sei» ille idest (idelis seu Vassidlus) gneur il lui doit encore conseil >. si in rorum prarniricatione tel et aide dans toutes les OCCaSÎOOS » faciendo vel consent iendo de- t|Uj peuvent l’intéresser. 1-e Set» prehensus fuerit, /terfidus et gneur de son côté doit remplir les » perjunis. » Alibi sic Fulbert tu mêmes obligations à l’égard de son nobilem queitulnm virum f’assal- Vassal ; s’il V manque, il est COU447. lum suum alloquitur • lltec à pahle de mauvaise foi, comme le » i-ol>is exigo securitatem de meâ Vassal qui ne s’aequiUeroit l»s de ̃̃ vîtd tt membris et terni quant ses devoirs envers son Seigneur, » halxo vel prr vestrum consi- seroit eou|Kible de |>erfidie et de » liitm (uijiiiram, tt de au.vilio parjure. Un Vassal en s’engajjeant • ve.tro contra omnes hornines ainsi à défendre SOU Seigneur UU» stdvà fidtlitate Hoberti.A. médiat envers et contre tous, de» item commendationem vtstro- voit excepter le cas de fidélité en’. » rum militum qui de nostro C’a- vers le Roi de même que celui samento bénéficia m tenent sal- qui auroit possédé des fiels dans » vd fidelitate vestrd ». tx quibus diliërculcs mouvances, faisoil la verbis apparet hominium et fi- réserve de la fidélité envers soi» dtm Domino inferioris Feotli princif)al Seigneur. C’est ce <li’e pr/estitum officere non potuisse nous apprend une autre lettre de jnhihiis domini superioris plu- Fulbert à un des Vassaux de « *•" rinmque Dominorum f-’assallum glise de Chartres. singulit clientelaria prttstitisse servitia secundùtn di versos untuscujitsque ve priori tatis vet dignltatis gradusK j

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