Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 12.djvu/16

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

~~M !Bt~ démêler te m**mt4*~oà1* *̃ dfeoutrir les reastwts otfbéi de » «S» m duète ? Ccttes, « oab *toét, b fioea» tant vratée des Romains mit id fcittten défett. Mut que dirons-aous de la stupidité de la Ftanoe «ntiere, de «’être S laissé gouverner pendant plus de qua- «  raute ans par un Ministre également «  itnbécille et nichant, tel qu’on nous ft représente l’Abbé de Saint. Detij»» «* «’ dw l’avoir non-seulement souffert avec de l’avOl’ ["’D’seulement ",Uff. ~.a vec.. paUencc, mais respecté tant qu’il a véc^^B et célébré après sa mort par de» éloge^ pompeux quelle a fait passer à la posté- 4 rite ? Le» bornes d’une pré&ce ne nom < permettent pu de nous étendre daTan- «  tage eur ce sujet. Revenons à Guillaume Historien de 1 Suger. Les trouilles qui s’élevèrent à S. «  Denys après la mort de son maître «  l’obligèrent, par amour de la paix, à quitter ce séjour tumultueux pour se retirer au Prieuré de Saint Denys en Vaux, dans le Poitou. Ce fut envain que peu de mois après son départ, ses amis le sollicitèrent par lettres à .revenir. Il fut inflexible. Nous avons la réponse pleine de sel et d’aménité qu’il fit à ce sujet à quatre Religieux de S. Denys, qui portoient chacun" le même nom que lui. C’est ainsi qu’il la termine Pour vous parler ave<franc/use, le sacrifice que foi fait en quittant Saint Denys et en renonçant à mon office ne me cause aucun regret. Je ne puis me déterminer à retourner dans la crainte que s’il arrivait quelque cttosevie fâcheux on ne mei imputât. U persévéra donc en son refus jusqu’à sa mort, dont l’époque n’est marquée nulle part. Dom Martenne a publié la lettre qu’on Tient de citer dur* son iresor des Anecdotes. 1 égara de la vie deSugër, il en aroit déjà paru ci-devant trois édition*, dont la première fut. fiûte en 1648 par les soins de Franc Duchesne la seconde* donnée par le Baron d’Auteuil, fait partie des preuves de ses éloges des Ministica d’Etat ; la troisieme se rencontre parmi les pièces qui sont à la suite de l’histoire devint Denys. Nous avons de plu» une traduction Françoise, mise au jour en 1640 par Jean Baudouin. IX, Le manuscrit de S. Germain- IX. Codex S. Germant a Pratis t tles- Prés, coté Tl et autrefois 612, n : 77, alias 612, médium haudjft "r~ di¡ fmrimmfmmgMHi jmAm «SfMMMPi* ’̃ J~uwétees wawniw~. JéÛ*SU*tmBmirmrt«mar.Qm J Smgttti fittmm m Mommsterio S. Dio -~Y~~rio .i. Dio mytii fteutm nu* turbm virum paêit amantem 00 imputer* ut, loei tu/nul tuosipmtmsuêy in Çellam jeu Priortà- I tum S. Dionysii in Vallibns apttd ^J’ietones se rereperit. Frustra ron/ih ^Kh/h* per. litteras ipsum rex<octirrj ^JLççù a disettsu mensihus amicj. 0Uftmtt oc jocosd quatuor ex ipti* qmttus itidem GuUUlmi singulU Lamten «rat eputo !d reipondit qjtum m eomdudit Ut veruro fc^tear, ut vobis in «urem loquar non est mihi tibia tanti. Loco/cessi, ometo renuntiavi fontunajn 1 ntetuens, ne, si <iuid accident imputetur raihi. I toque Lropotiti l sui perseverantiam relÊkit u»quë ad l obitum, cujus tempormjium cha-y racterem nuUibi signât dm offendi- ̃ mus. Brevem hanc sifripturam e manuscripto codice de^criptam vul- Tmn I l gavitin Thesauro Anecdotorum Mar- • tenius. Ad vilum âutem Suger ii qtiod spectat ter jam /uic.tenùs fuerat prmlo subjecta, proitieratque primùm in lurent anno IGiH cura Francis™ Chcsnii diinile inter eloe gia regni Administrorjtm a Barone à de Altolio concinnata postmodùm it in instrumenté histarix San-Oio- _̃̃• : nysiamt ne quid dicam de Galr- j à lica hujuS versianr quant nnno i « 1640 edidit Joanncs lialduinus. f .a