Sed, antequàm priora quinqm relia- ’ fcirÀmetttkm <Ü»quamui volumina, absit ut prmvmi na|W»||at k» (roriçhiaecpt quibus illa ditescere voluit commett- ’ , tfEwjMijjt tationes omittamus. Decimo quarto ife
præfatus est, universam gallici im~ Vile <1(1 * |^|td8(^jjpeddn|t J« « 3fe . . perii tum sacram, tùm civilem, seeulo taf Siècle : . h pfapart, d« flpCllNMia undecimo duodecimoque administra- relatives AUX ibit et usages pOÜtiqueafde • tionem ita describendo, ut pterasque oet âge y Sont Savamment traitées- hof de hujus ætatis legibus institutisque pièoes ttMtMlbiéeff dlDS lé ton» XVI politicis qusestiones intricatissimas SOUt précédées de deOX mémoires î 1# aut solverit, aut solertiùs moverit, plus court, SUT le OMtwity dtt FlXft- -Instrumentis in tomo decimo sexto çais de Ces mêmes temps, leur cfetaQAcollectis præeunt disputationes du» : sure, leur Chevelure, les formes de prior, eaque brevior,de re Francorum leurs vêtements 4 l’autre SUT le divorce iisdem temporibus vestiaria, calcea- de Philippe l.*r avec Berthe, et le IBAmentis, coma, indumento multif ormi ; riage de ce prince avec Bertrade. Reposterior de repudiata à rege Phi- chercher l’origine de la pairie en FranCe, lippo primo Berta et superducta l’époque et les circonstances de l’établis-Bertrada Andegavensi. Decimo sep- sement^JBS douze pairs, est l’objet d’tin tirno^xolumini similiter præmittitur précis historique placé au commence- > inscripta . de Origine Pa- ment du tome X, II.
tiortè duodecim Parium.
Quæ hucusque nos, licèt cursim, U résulte des détails que nous veattigimus, testantur tamen quid de- nons de parcourir, que dom Brial est, beat Gallia, de rerum suarum col- «près dom Bouquet, celui à qui laFrance lectione, MichaeliBrial, harum vide- demeure redevable de^la plus grande licet præcipuo, secundum Mar tinum partie de ce recueil, puisqu’il en a seul Bouquet, editori ; qtdppe qui post établi six volumes, après avoir coopéré impensam duplici volumini mutuam à l’édition dedeuxautres. S’ilestdans les cum Clemeate operam, sex ipse sub- divers genres de littérature des travaux sequentia solus instruxerit. Sint alia plus brillants que les siens, il en est peu quæ dam literariæ artïs specimina in- d’aussi durables, peu sur-tout qui aient signio ri laude prosequenda : at pau- au même degré le caractère de services : ca dixeris perenniora ; quibus publici à jamais il sera le meilleur guide de of/icii titulus æquè congruat, pau- tous ceux qui voudront étudier, enseicissima ; nullum certè virum quem gner, écrire sérieusement l’histoire del tutiùs unquam dpéem sequare, qui- ce qui s’est fait en France depuis l’acumque rebus ab anno 1060 ad 1226 vénement de Philippe I.*r en 1060 in Gallia peractis, sedulâ quà decet jusqu’à celui de S. Louis en 1226. curà noscitandis, tradendis, scripti- Peut-être n’avoit-on pas toujours porté tandisvè incumbere volueris. Non ’ dans le travail relatif aux règnes antétanto judicii acumine, non tantâ rieurs une critique aussi éclairée, une fuerant sollicitudine recensita, quæ exactitude aussi scrupuleuse ; et, s’il initum Philippo primo principatum étoit vrai, comme des savants étrangers antecedunt : unde, si verum est l’ont quelquefois reconnu , que de quod exteros aliquot eruditos cpnfi- toutes les collections du même genre tentes habuimus, inter varias hoc ge- imprimées en divers pays, aucune ennus collectiones ubicumque vulgatas, oore n’eut été conçue ni exécutée avec nullam hactenus exstare ordinatius autant de méthode et de sagacité , Franciæ et de Institu-
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