Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 2.djvu/39

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xxxy PRJRFATIO. . P. ins r~ ~S. ~3. et 343. stirpe s Tome tus. Mortuo Charibrrto I. urbs Parisiensis inter très ejus fratres remansit indivisa hec ttllus eorum in eam ingredi poteràt sine aliorum voluntate et consensu. ChUdebcrtus ̃ Sigebe~ti ̃ ̃ TF stW lus 11. Sigeborti Jilius a patmo suo Guntramno dimidiam MassUiïe partent et fiilvanectensis urbis portioneni repetehat. His adde quod eivilia inter Itegei bel la magnas intulerint singutorunt regnorunt limitibus mututiones adeo ut i/itra un/ us an ni s pat iu m eadertt urbs </uatuorj’ratrihus sape paraisse t. Quie quidetn di’f’jiealtates doetissimunt D. de FortceniagHe terruerunt effeee–runtque ut limitum vuique rc^no constttiu-ndoi n<ii romiliutn abjiccrvt. (Juij dunceps banc in se prvrin–cia m recipere aitsit ? Satis igitnr rni/ti erit divisionern intvr Chliulovti films J’aetain cxlùbere proitt refertitr « l’agio. l’hcudciUllS pnvtvr provincias Trafi.tr/tfniinas et eit’ttates inter Rliermin et Mi>sam ita.t obtinttit Ilctnos (iitalaitruan Treeas et in .lijuitattni prima urbe. .) rernoi uni lîullienorntn (idnreorunt tt .IU ;enMt/n ct/rrt 7 eetia in (,<tlliti ar’•ortensi. ( !li|(.Mloiniirs Senonas -̃intttMvihii itm .-lureliant ."ttro–//<».» (’enornannni .̃Indegavutri et o r< rii[n>pul(tniiim Chiltlclior– tus Meldas l’ttris’nts SU vont i tutti, lieUovaeum ijtiiiltptid inde pat et ail OeeanuiH provinciam I.u^ilunrnsfm scenndarn intégrant <•tati s lit dvnitin attinetutn I < net tint liritanniam iterttipte ali<jttot urbes Atpiitan’uv. (llilotai ius Lauthiniim Sues.sitmctn l’eroniandta> .tmbianutn tjiiiilipiul ultra Smnunain est inter .M osant et (heannni itetnque parti in ./qtiittttitie. Cottsale-sis D. de l’otaettiagne Ih’sertationer/t de rcgui l’ianene itmplitadine sub prima mort de chaque enfant de Clotaire. Nous voyons qu’après 1« mort de Charibert 1. la ville de Paris étoit indivise entre ses trois frères et que l’un n’y pouvoit entrer sans Ic consentement des deux autres. Childebert H. fils de Sigebert repetoit sur son oncle Gontran la moitié de la ville de Marseille et une portion de celle de Senlis. D’ailleurs les guerres civiles que nos Rois a voient les uns contre tes autres ont encore ap|>orté de’ grandes variations dans tes bornes des ditlerens ixnaiunes, en sorte que dans l’espace d’une seule aimée une inèine ville avoit^soment pl>éi aux quatre frères. Toutes ces diilicultés jointes ensemble ont effrau* M. de Fouceinagne et lui ont luit abandonner te dessein qu’il avoit eu de nous donner les liomes de chaque Kovauinc. l’H s’il n’a pas osé l’entreprendre qui usera s’en charger.’ Je nie contenterai donc île donner ta diisiou laite entre les cnlans de Clovis telle que je la ti’oue dans.le I*. ligi. 1 Itterrv Diitre les I’idv niées d’au-»le-là «lu IVheiu et les illes situées entre le lUiein et la Meiisc posM’iloit Itcims (ihàlous sur MariK- Tunes tN dans l’Aquituiue preiuii’i’e (ileriuoul Kotles < lit hors, All»y, aec l zes dans la (iaule ̃Sari hhiik use. ( ’lodomire avuit en partage Sens tiene Orléans rouis, le Mans Angers et la .Novetnpopulanie. ( laldt ht tt aoit dans son lot Mcaux Paris’, Senlis IVamais et tout ce qui sYteiidoil vers l’Océan, la 1,oiiik>i*c seeiMnlt’ eu entii-r, IUnnes .Nantes, Nanties, la Nretagne. et quelques illes de l’Aquitaine. (’/(Attire jouissoit de 1-ion de Soissous de S. (Quentin, d’Amiens, de tout le pays d’au-de-là de la Soinme. entre la Meuse- et l’Océan avec une partie de l’AquiLiinc. Consultez la Dissertation de Monsieur de Fonceiuaguc sur l’étendue du royaume (le France sous la première race