Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 2.djvu/40

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PRjEFATio. wxig Kram ̃ inliilt’lra. Kram» • nnraynix. i », _>. m H’ui. H r.iin IiI 1..1. f, ’il 1 llml. 7 T ~Hi i-’i. 2 il. t’1 ranci |.Ml,>. Tom. 11. Tome .VIII. des Mémoire ? de l’Academie des Inscriptions. t’y. DesJWœurs (les Francs. · y Je ne prètens pas ramasser ici tous les passages des Anciens, où il est parle des mœurs des Francs il suffit de consulter la Table de ce Volume et celle du premier où l’on trouve rassemblées toutes les bonnes et mauvaises qualités que leur donnent les Historiens. Je remarquerai seulement que Proeope ne leur rend pas justice, lorsqu’il les accuse d’être barltares et cruels quoique Chrétiens, et d^iminoler des victimes humaines il attribue mal-àpropos à la nation des Francs en gênerai ce qui ne conveuoit qu’aux Alemaiis (lui étoient sujets du Roi Theodeliert et qui servoient dans son armée. Pour ee qui est du reproche qu’il teur fait d’être infidèles et de violer leurs sermens il leur avoit été fait long-tems aujKiravant par Vopisque qui les accuse d’être si accoutumés à violer leur foi qu’ils scmhloicut en faire un jeu. Salvien dit qu’ils regardoient le parjure comme une manière de parler non pas comme un crime qu’ils étoient menteurs, mais civils aux étrangers. Agathias qui yivoit jk’u de teins après Procope ne leur reproche pas ce défaut ; il leur donne au contraire de grands éloges. lis dommient du teins de S. Bernard dans un excès bien opposé car ils éloient selon ce Père si religieux observateurs de leurs serments qu’ils regardoient comme un grand déshonneur de ne pas exécuter ceux qu’ils avoient faits publiquement, lors même qu’ils étoient illicites. Quand les Historiens ne conviendroient pas ensemble à relever le courage et fia valeur des Francs, leurs actiurts parlcroicnt pour eux. A jn-ine tem nom doit-il connu, que nous les stirpe Turno FUI. Commcntariorum Academix 1 nscriptionum ̃ IV. De Fraricorum moribus.. Omnia Feterum testimonia t/iur de Francorum moribus mentiorwm faciunt hue congererc hon est nuimus satis est /tu jus Fv/uminis et prirni Indices consulcr» in ijuibus dotes et vitia oute Francis <il> f/istoricis trilmuntur si/nul vullecta rorispûùuntur. ld unuin ohser̃vabo l’rocopium Franeis -paru m ietptum esse cùni rus licèt ( /tristinnos burliaros esxv et crudrlix ntt/uc hvslius liutitana.s i/u/tio/tirr tradit ra enirtt i/iih.’ twnnixi Aletnannis <pit sith fxittwttitr /ttot/c–berti Iiegis degcbtint et in cju.s exercitu stipendia rnerebant t-onveniunt trlalè in univet.uim l rancorum nationem rej’undit. (JihmI autem eus injidelitati.s et violait juris-jurandi ace usât id ipsu longianteà vitio verterut opisnn cinn ait ipsis familiare esse ru/i /n/<> /idem frangerc. Salv’umus testtitnr Fruneos perjuriurn ipsurn sermanis geniu pittare esse non cnminis eus mentltucs esse sed liuspitalis. ihit simde ipsis e.vprohrat r/^at/iia.s /•«>coput /xiulo junior cos contrit s/tt/tmis luuiiil’us c.vlollit. h’ranvi ;etatc S. Berruinit udeit rc/i^iosc jus-jurandùm xerv<11>ant ut in contrariufii vttium ruèrent l’rohl’t. ilucitur innuit Fpist. 211». apud Francigenas jurainentiini solvere quaiulttx.-t inalè pulilicèjuiatiini sit. •>. Tantn erat Francorum fortilu(/o ut earn Ilistoricis vet non pr ;edicantd’us res i/>e pnrdit tirent I i.rd,itm rtottirn crut voritm ritimt ri ciim udversùs /iontio Impcmto-