V !̃• • > ̃ OTMMPiPHHMIk ̃ Mrfto ’.• fwK>> f» /Mm» » >an* .ne* amis pkt n$m« fe nom -d» Gmmt^gmmviâ, m* %wamm% oelui qqj^regaé Je prmnte* dan» les iVwMH> faéoi mni^ wmwmhim Gwiles, lie premier que nous *y*wi*- £M&«*,fm «*«•»«&*»*• sk^wirenwntertOodk», que tous k» Fmrwmw^filiumdimnt, exeejrtis HUtcnem disait «voir été fils de Fwa- ^W’*»^ « fl%w, wow» è J*«*»ptk» <fe Grégoire de jwiA/knmmi«rfn wwffin mmtmm Tours etdéFr«d«gwie<|ui ne font auAw" imb m Fndagmrùtt Tkeo* cune mention de Faramoad ce derAawrww £%&*&«& ^KitnMi trodit. nier au contraire donne à Qodkm . p. . p. 544. . 695. . p. 697. i>. 695. p. 396. fiw». 1. p. . /ervnmwN ««nw Chiodioni succesiÛM, potnmetse CAUperid, ab èo prwm sturpis Régis Merovi*gioâ dictos s«d ciy’uMam tsset films ignoramus. Quidam tum de Chhdhms aUi de Thêodomeris nonntUU denique de Priami ttirpe procreatum volunt. In Genealogia 1 quam edidimus Chlodio sine filiis obiisM nepotemque sauni Aferot*«W successorem habuisse diserte dieitur in afin Mermeo datur pater cognominis. Solus Fredegarius Meroveum Chfodfonis esse filium, seu potiùs «x uxoris Chlodionis cum Minotaurv commercio prodiisse asserit. Recentiores Scriptores hactenus ferè omnes credi, derant Chlodionem ilium esse Francorum Regem de quo Priscus Rhetor loquitur et post cujus montem duofilii de regno conteruiebant natu minorem quem Priscus Ronue viderat Meroveum esse Chilperici patrem. Veriim hoc opinio nunc omninb est rejicienda quippe cùm doctissimus Abbas Ùubos i(ivictè probei hune juniorem Principem Childerici patrem esse non posse quandoquidem anno 449. vel 450. quo venu Romtun nondum ei lanuga gênas abtexerat et ChUdcricus anno 457. à Francis expulsas est eo qubd eorumfilias et uxores stupraret. Hinc est qubd D. Biet Canonicus Regularis et Abbas S. Leodegarii Suessionensis in Dissertât ione qute prtemium tulit ab Academia Suessioneiisi pro-Théorioroeres pour père. Nous savons > que MeroVée a succédé à Clodion 3, qu’il étoit père de Chikteric que c’est de lui qu’est venu à nos Rois de la première râpe le nom de Mérovingiens mais nous ignorons de qui il étoit fils. Les uns disent qu’il est issu de la race de Clodion les autres de celle de Theodomeres d’autres enfin de celle/ de Priam. Dans une généalogie que nous avons imprimée il est dit formellement que Clodion est mort sans fils et que son neveu Merovée lui a succédé et dans une autre en donne à Merovée un pere de même nom que lui. Fredegaire est le seul qui dise que Merovée est fils de Clodion, ou plutôt qu’il est le Iruit du. commerce que la femme de Clodion a eu avec un Minotaure. Presque tous le» Ecrivains modernes avoient cru jusqu’à présent que Clodion étoit ce Roi des Francs dont parle le Rhéteur Priscus, et dont les deux en fans après sa mort se disputoient la royauté que le plus jeune que Priscus avoit vu à Rome, y étoit Merovée père de Childeric. Mais il faut nécessairement abandonner ce sentiment, depuis que M. Dubos a démontre que ce jeune Prince ne pouvoit être Je pere de Childeric, puisqu’en 449. ou 450. qu’il vint à Rome, il n’avoit point encore de poil au menton et que Childeric en 457. fut chassé par ses sujets parce qu’il seduisoit leurs filles et leurs lemmes. C’est pourquoi M. Biet Chanoine Regulier et Abbé de S. Léger de Soissons propose un autre sentiment dans sa Dissertation qui a remporté le Prix proposé par. l’Académie j
