Page:Bourdeille - Œuvres complètes, 7.djvu/469

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

sition d’Anne au mariage de sa fille avec le duc d’Angoulême (François Ier), 329-330. Isabelle de Castille ; mariage de Louis XII avec Marie d’Angleterre ; son tombeau et celui d’Anne à Saint-Denis. Anne est la première qui ait mis la cordelière autour de ses armoiries, 330. Éloge de Mme de Dampierre, tante de Brantôme ; épitaphe de la reine Anne, 331.

DISCOURS II.
sur la reyne, mère de nos roys derniers, catherine de médicis, p. 332-403.

Étonnement de Brantôme de ce qu’on n’a point écrit la vie de Catherine de Médicis ; mot de Charles V à P. Jove, 332. Libelle contre Catherine, 333. Origine de la maison de Médicis ; fables débitées à ce propos par Bernard de Beaune, archevêque de Bourges, dans l’oraison funèbre de la reine ; personnages illustres de la maison de Médicis, 334-336 ; illustration de la maison de Boulogne et d’Auvergne ; ce qu’en dit Pie IV devant Brantôme. Prétentions de Catherine au trône de Portugal, 337-338. Richesses et joyaux qu’elle apporte en France ; perle qu’elle donne à Marie Stuart, 338-339. Avantages que François Ier retire du mariage de son fils avec Catherine ; devise grecque de Catherine ; Brantôme entend dire que Charles V l’aurait épousée s’il n’avait été marié. Promesses que Clément VII avait faites au roi, 338-340. Affection qu’elle inspire à François Ier et à Henri II qui refuse de la répudier ; anecdote plaisante d’une dame de la cour demandant l’abbaye de Saint-Victor, 341-342. Catherine reste dix ans sans avoir d’enfants ; sa postérité ; ce qu’en disait son mari ; son portrait, 342. Sa visite à Lyon au peintre Corneille qui avait fait son portrait et celui des dames et seigneurs de sa cour, 343-344. Elle aimait la danse et la chasse ; elle obtient de François Ier de faire partie de la petite bande ; aimait à monter à cheval ; fut la première à mettre la jambe sur l’arçon ; ses chutes ; elle subit l’opération du trépan, 344-345 ; tirait de l’arbalète à jalet ; inventait des jeux ; aimait les tragédies et les comédies ; fait jouer à Blois la Sofonisba, 346-347 ; sa gaieté ; excellait aux ouvrages de soie ; mot que lui dit M. de Bois-Février, 347 ; créée régente par Henri II pendant la guerre d’Allemagne, 347-348.