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Page:Bousquet - Iris et petite fumée, 1939.djvu/17

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ses dents serrées passait comme le frisson d’une menace. C’était la première fois depuis la récente année de mon installation qu’un de mes malades me faisait peur. « Celui qui pense à mourir, me dis-je, veut donner à ce qu’il aime le poids effroyable de ce qui ne connait pas l’amour. »