Page:Boutmy, Jouin - Protocols des Sages de Sion - Revue int. soc. secretes, 1920.djvu/108

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quand il expose aux yeux du public des attentats tramés contre lui. La découverte de conspirations fréquentes peut porter à croire que le pouvoir était dans son tort ou qu’il est faible ; tout cela peut soulever des mécontents. Comme vous le savez, nous avons diminué le prestige des souverains goyim par de fréquents attentats contre leur vie, organisés par nos agents, moutons aveugles qu’il a été facile de pousser, par de grandes phrases libérales, à commettre ces crimes politiques. Nous avons, par la force, obligé les souverains goyim et nous les avons amenés par des intrigues à avouer leur faiblesse en s’entourant ostensiblement de police secrète pour se protéger.

03 Au cas où notre souverain ne serait pas absolument en sécurité, nous le ferions entourer d’hommes et de femmes qui viendraient en curieux prendre place aux premiers rangs, près de sa personne, maintenant l’ordre dans les autres rangs et ne semblant le faire que par respect pour l’ordre, donnant l’exemple de la discipline et l’exigeant autour d’eux. S’il survenait un pétitionnaire, ils l’aideraient à remettre sa pétition, tout en ayant l’air de ne pas vouloir déranger le public ils prendraient la pétition pour la remettre