Page:Boutmy, Jouin - Protocols des Sages de Sion - Revue int. soc. secretes, 1920.djvu/126

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

taire et supprimera l’indolence et la paresse, qui nous étaient utiles sous le régime des goyim, mais qui ne doivent plus exister sous notre gouvernement.

13 Avec quelle évidence ressortent la vénalité, la bassesse et la stupidité du cerveau purement bestial des goyim quand on songe qu’ils n’ont même pas pensé que le monde les condamnera un jour d’avoir contracté chez nous des emprunts avec la charge de payer les intérêts et les courtages, sans paraître se douter que pour nous rembourser cet argent avec les intérêts en plus, il faudra bien qu’ils le tirent de leur poche. N’eût-il pas été plus simple de prélever cet argent sur leurs contribuables, au lieu de devenir nos tributaires pour des sommes qui s’augmentent chaque année du montant des intérêts à payer. Cependant nous avons su leur présenter la question des emprunts sous un tel jour qu’ils les ont crus tout à leur avantage ; voilà bien ce qui prouve une fois de plus la supériorité géniale de notre esprit.

Nos méthodes financières, présentées au moment opportun sous le grand jour des expériences séculaires dont les États goyim nous ont fourni la matière, se distingueront par leur netteté et leur précision et démontreront les avantages de notre nouveau système. Ce système supprimera tous les abus qui nous ont servi à perdre les goyim mais qui ne seront pas tolérés dans notre gouvernement. Nous l’établirons de telle façon que ni le Souverain ni le plus petit fonctionnaire ne pourront détourner la moindre somme de sa destination ou lui donner une orientation différente de celle qui aura été indiquée dans notre plan.

Il est impossible de gouverner sans un plan bien