Page:Boutmy, Jouin - Protocols des Sages de Sion - Revue int. soc. secretes, 1920.djvu/127

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déterminé : les héros, les preux qui s’aventuraient dans des voies inconnues, sans réserves suffisantes, périssaient en cours de route.

Les souverains des goyim que nous cherchions jadis à distraire de leurs emplois publics et des intérêts de l’État au moyen de réceptions protocolaires et de divertissements, n’étaient que des paravents de notre Gouvernement. Et, en effet, les rapports et les comptes rendus de leur entourage de favoris étaient rédigés par nos agents et parvenaient chaque fois à satisfaire les esprits bornés, leurs promettant pour plus tard des économies et des améliorations. Ils auraient pu demander quelles économies ? Sera-ce sur les impôts ? Mais ils ne posaient aucune question semblable à la lecture de ces rapports ou de ces projets. Vous voyez jusqu’où a pu les conduire une pareille insouciance, à quelle désorganisation financière ils ont abouti, malgré la fiévreuse activité de leurs peuples.


Vingt-cinquième séance


01 Pour compléter mon exposé de la séance précédente, j’ajouterai encore quelques explications concernant les emprunts nationaux. Je ne dirai plus rien des emprunts extérieurs, parce qu’il n’y en aura pas dans notre État. Le temps ne sera plus où les emprunts faits par les gouvernements des goyim alimentaient nos caisses avec leur argent national.

Nous avons profité de l’indolence des souverains et de la corruption des administrateurs pour encaisser des sommes doubles, triples (et plus considérables encore) de celles que nous avions avancées aux goyim et dont, en réalité, ils