Page:Boutmy, Jouin - Protocols des Sages de Sion - Revue int. soc. secretes, 1920.djvu/46

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

aveugles, des légions entières qui portèrent nos bannières avec enthousiasme. Cependant ces mots étaient des vers qui rongeaient la prospérité des goyim, en détruisant partout la paix, la tranquillité, la solidarité de par l’obéissance aux lois, qui sape tous les fondements de leurs États. Vous verrez plus tard que c’est précisément cela qui contribua au triomphe de notre système de conquête pacifique du monde. Nous pûmes alors obtenir l’abolition des privilèges, essence même de l’aristocratie des goyim, aristocratie qui était le rempart naturel des peuples et des patries contre notre action.

23 Sur ses ruines nous avons élevé notre aristocratie de la science et de la richesse.

24 Notre triomphe nous fut facilité par le fait que dans nos rapports avec les hommes dont nous avions besoin, nous sûmes toujours toucher les cordes sensibles de la nature humaine : le calcul, l’avidité, l’insafiabilité des besoins matériels. Chacune de ces faiblesses humaines, prise à part, est capable de détruire toute initiative personnelle, en mettant les hommes à la disposition de celui qui achète leur activité.

25 La notion abstraite de liberté permit de convaincre les foules que leur gouvernement n’est que le gérant du propriétaire du pays, qui est le peuple, et qu’on peut changer de gérant comme on change des gants usés. Cette amovibilité des représentants nous les livrait les mettaient pratiquement leur choix entre nos mains.