Page:Boutmy, Jouin - Protocols des Sages de Sion - Revue int. soc. secretes, 1920.djvu/63

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Les questions les plus importantes des principes politiques et moraux sont résolues par les tribunaux dans le sens que nous leur prescrivons ; ils jugent les procès du point de vue que nous leur suggérons par l’intermédiaire d’hommes de paille, par l’opinion de la presse, ou par d’autres moyens que nous n’avons par l’air de mettre en action. Les sénateurs eux-mêmes et l’administration supérieure suivent aveuglément nos conseils et nos indications. Je vous donne ici une nouvelle preuve de la pauvreté du cerveau bestial des goyim, incapable d’analyse et d’observation et plus encore de prévoir les conséquences d’un tel état de choses.

02 L’esprit des goyim est purement bestial ; il voit mais ne prévoit point, et ses inventions sont exclusivement d’ordre matériel. Il découle clairement de tout cela que la nature elle-même nous a prédestinés pour diriger les goyim et gouverner le monde.


Neuvième séance


01 Qu’il soit républicain ou autocratique, un gouvernement s’inspire toujours des lois pour annoncer ses décisions. C’est pourquoi toutes nos préoccupations doivent consister dans la recherche d’un courant capable de les transformer, les masquer ou les dissimuler. En remaniant les lois dans un sens libéral, on s’habitue à y introduire de nouvelles exigences, ensuite l’inexécution de ces lois conduit au relâchement, puis à l’anarchie. C’est alors qu’étant par le fait Souverains de l’Univers, Rois en réalité, quoique non couronnés, nous pourrons