Page:Boutmy, Jouin - Protocols des Sages de Sion - Revue int. soc. secretes, 1920.djvu/64

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affermir notre despotisme, déjà, puissant, parce qu’invisible, et partant irresponsable. Au lieu de nous incomber, la responsabilité appartiendra à ceux des représentants des peuples qui, inconsciemment, et, bien entendu, sans en connaître le but, exécutent notre programme. Mais, comme nous les protégeons, parce qu’ils écoutent nos conseils, leur responsabilité ne les expose en réalité qu’à un changement de fonctions dans l’administration ou à une suspension provisoire, tandis qu’en cas de protestation contre nos ordres, ils seraient condamnés au repos éternel.

Les administrateurs, choisis par nous dans le public en raison de leur servilité, n’auront aucune expérience en matière gouvernementale ; ils deviendront facilement, dans notre jeu, des pions aux mains de nos savane, de nos conseillers géniaux, de nos spécialistes élevés dès leur plus tendre enfance pour diriger les affaires de ce monde. Comme vous le savez, ces hommes ont étudié dans le temple de notre Dieu ; ils ont puisé des renseignements utiles dans nos plans politiques, dans l’expérience de l’histoire et dans l’observation de chaque événement qui passe. Les goyim ne sont guidés que par la routine et par les théories ; ils n’ont aucun souci des conséquences qui en découlent. C’est pourquoi nous n’avons pas à nous préoccuper d’eux ; ils s’amusent.

Les lois qui émanent des théories scientifiques ont, pour eux, une importance considérable ; aussi avons-nous engendré la confiance aveugle à l’égard de la science. Leurs intellectuels s’enorgueillissent de leurs connaissances que la