Page:Boylesve - Le Parfum des îles Borromées, 1902.djvu/102

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sur sa bouche dont la seule vue lui faisait trembler les jarrets.

— Allez-vous-en, je ne veux plus vous voir ! dit-elle.

— Si ! si ! fit-il en se penchant pour la saluer, ce soir, à dix heures, près du bassin, dans le jardin des annexes…