Page:Boylesve - Lecon d amour dans un parc.djvu/84

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essoufflée, elle feignait l’émotion et disait que sa gouvernante avait ses vapeurs, « là-bas, au pied du grand vase où il y a des hommes poilus qui ont une petite queue pointue de chaque côté » ; et elle lui faisait porter des élixirs par quelqu’un de ces messieurs, qui, en la courtisant, la mettaient au supplice, car elle craignait sans cesse d’être compromise.