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Page:Bréhier - Chrysippe, 1910.djvu/308

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table des matières.

Les fonctions. — La morale des hommes moyens : Déterminations des fonctions. — Les « questions ». — La question sur l’ivresse du sage. — La casuistique. — Le suicide 
 233-237
Résumé 
 237-238

§ 2. — La vertu. — Caractère pédagogique de la morale stoïcienne. — Le rôle du savoir dans la vertu. — Aristote et Zénon. — La notion d’effort chez Cléanthe. — Retour de Chrysippe à l’intellectualisme. — Origine de la vertu et du vice. — La multiplicité des vertus : Polémique avec Ariston. — Le principe de la compétence du sage 
 239-248
§ 3. — Les Passions. — Le jugement et la raison : différence de leur rapport chez Platon et les stoïciens. — Caractère irrationnel de la passion. — Les divers éléments de la passion. — Selon Chrysippe, la passion est un jugement sur la convenance de l’agitation de l’âme. — La maladie de rame, la passion et le vice. — Les phénomènes corporels dans la passion. — Les remèdes de la passion 
 248-262
§ 4. — La société. — Inactivité politique des stoïciens. — La critique cynique des lois civiles. — Universalité de l’inclination altruiste. — Les fonctions du sage dans la cité. — Les formes de gouvernement. — L’utopie politique 
 262-266

Cosmopolitisme stoïcien. — Amphibologie du mot polis. — Le droit universel et naturel. — Opposition avec la cité de Platon. — Rapprochement avec les sophistes. — L’idée d’humanité 
 266-270
La justice vertu du sage. — La morale inséparable de la justice. — Le sage législateur. — La justice règle de la société des sages. — La cité divine 
 270-273
Conclusion. — Point de vue pédagogique dans le