Page:Bréhier - Schelling, 1912.djvu/322

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mécanisme. — L’organisme. — L’expérience : le sens qu’elle a dans Schelling. — L’action chimique comme action universelle : l’oxygène et la combustion : la lumière, la chaleur ; l’électricité, le magnétisme. — La Physique théorique ; la construction kantienne de la matière ; caractère intuitif et qualitatif de la physique dynamique ; l’antinomie sur la composition de la matière ; critique de la dynamique de Kant ; généralisation de la dynamique|page= 26-37}}

§ IV. — L’âme du monde. — L’unité de l’énergie : différence de point de vue avec la science. — La méthode expérimentale : physique théorique et physique expérimentale : elles s’opposent mais ne s’excluent pas ; la théorie chez Claude Bernard et dans Schelling. — L’unité des forces physiques : la loi de polarité, source de l’hétérogénéité ; la lumière, la combustion. — Théorie des fluides. — L’électricité. — Le magnétisme. — L’activité organique : rapports et différences de la théorie de Schelling avec celle de Brown et de Haller. — Le végétal et l’animal. — La loi de Kielmeyer. — Être inorganique et être vivant 
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DEUXIÈME PARTIE
SCHELLING A IÉNA
CHAPITRE PREMIER
SCHELLING ET LES ROMANTIQUES.
Visite à Gœthe et à Schiller à Iéna. — Nomination à l’université d’Iéna. — Le milieu d’Iéna. — Le cercle romantique d’Iéna : les frères Schlegel, Novalis, Tieck. — Ce que les romantiques attendent de Schelling. — Le caractère de Schelling dépeint par Caroline et Benjamin Constant : la raideur et l’étroitesse. — Influence du romantisme à la vision esthétique du monde. — Le cynisme romantique. — Caroline : sa vie à Mayence et à Iéna ; mort de sa fille Augusta ; divorce avec Schlegel ; mariage avec Schelling. — L’unité de la période d’Iéna 
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CHAPITRE II
LA PHILOSOPHIE DE LA NATURE.

{{table|titre= Esquisse du système. — La nouvelle conception de la nature : la nature et le moi. — Abandon de la théorie des fluides. — L’activité infinie de