Page:Bréhier - Schelling, 1912.djvu/323

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la nature et les êtres finis : l’atomisme dynamique. — L’organisme premier produit de la nature : la sexualité et la spécificité ; l’excitabilité. — L’être inorganique : critique du système de l’attraction universelle ; cosmogonie. — Les faits dynamiques : pesanteur, magnétisme, chimisme, électricité. — L’activité organique ; la sensibilité et l’irritabilité. — Rapports des actions inorganiques et dos activités organiques ; l’unité de leur principe. — L’Introduction à l’Esquisse. — La Déduction universelle. — Matière et forces. — Les trois forces, magnétique, électrique et chimique, constitutives de la matière. — La construction de la qualité. — Jugements contemporains sur le système|page= 56-70}}

CHAPITRE III
l’idéalisme transcendental.
Son rapport avec la théorie de la science et avec la philosophie de la nature. — Divergence avec Fichte ; la conclusion de Schelling est non pas une philosophie de l’action, mais une philosophie de l’art. — Signification de l’action chez Fichte et Schelling ; l’histoire. — L’harmonie du sujet et de l’objet 1° dans la nature : organisme ; 2° dans l’esprit : l’art ; la psychologie romantique du génie ; la place de l’inconscient ; critique de Schiller 
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CHAPITRE IV
LA PHILOSOPHIE DE l’IDENTITÉ.
§ I. — Schelliag et Fichte : la correspondance. — Les objections d’Eschenmayer ; la nature et le moi ; le reproche de réalisme ; la nature chose en soi. La philosophie de l’identité, effort pour concilier le naturalisme avec l’idéalisme 
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§ II. — La Raison et l’Identité. — La nouveauté du système. — Les difficultés d’exposition. — La notion d’identité dans la science moderne. — Impressionnisme et rationalisme : leur conciliation dans le système. — La raison, vision de l’universel ; l’identité de l’essence et de la forme, du sujet et de l’objet. — L’acosmisme. — Les influences : Herder et l’unité du type organique ; Gœthe, Steffens, Baader ; l’idée de métamorphose. L’essence et l’accident. — Les différences des êtres ramenées à des différences quantitatives de subjectivité ou d’objectivité. — Le sujet et l’objet sont des concepts limites. — Le langage de Schelling. — La théorie des puissances ; la nature et l’esprit résultent d’une oscillation autour de l’Identité absolue. — L’indifférence distinguée de l’identité. — La méthode de construction 
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{{table|titre= § III. — Spinozisme et platonisme. — Rupture avec Fichte. — L’influence de Spinoza. — Le Spinoza romantique. — Herder et Jacobi. — L’erreur