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L’HÉRITAGE DE CHARLOTTE

ment l’idée de laisser ce fin praticien mener l’affaire à lui tout seul, en autocrate, en maître.

« Il faut que je voie moi-même l’héritier de Susan Meynell, se dit-il, il faut que je lui explique clairement que c’est à moi qu’il doit de connaître ses droits, et que, dans cette affaire, Fleurus n’est rien de plus qu’un agent salarié. »