Page:Brillat-Savarin - Essai historique et critique sur le duel, 1819.djvu/34

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Quoi qu’il en soit, pendant tout ce règne les duels furent très-fréquens ; on sait que le chevalier de Guise, qui avait tué en duel le baron De Luz et avait donné lieu à la déclaration de 1613, tua encore le fils de ce même baron, sans qu’il fût fait à cet égard aucunes poursuites ; et les préambules des édits de 1643 et 1646 complètent la preuve, que depuis l’arrêt de 1627 la fureur des duels n’avait fait que s’accroître.