Page:Brisset - Le mystère de Dieu est accompli.djvu/55

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arque ; c’est la marque. Re me arque, remarque. Ce disant l’ancêtre s’arquait pour montrer sa marque. Arque en ciel, l’arc-en-ciel. Vois le marque ist, vois le marquis. Mal in tension n’ai, mal intention n’ai, je ne suis pas malintentionné ; c’est ainsi que parle le malintentionné. M’ai, j’eus j’ai : tu as méjugé. C’est m’ai jugé. Je te laisse le mare soin, petit marsouin. Tu n’as pas de main, tiens ; prends du main, tiens. Le rampant prenait du bec, les mains par terre ; l’obligation de prendre avec la main, le forçait au maintien, au main tiens, Y c’ist, main tiens-toi, maintiens-toi ici. Ceux qui veulent se maintenir, doivent se main tenir. C’est là ma chine, à l’ai chine, à l’échine : y m’ai chine, il m’échine. Le chine où est ? Que veut-il le chinois ? Quel peut bien être cet objet que l’ancêtre nomma chine ? — nos machines ? Haut que c’ist ? — je l’ai occis. Cela commence à osciller, à haut c’ist l’ai. Te mens, je te le dis ouvert, te mens, tu mens. Qu’est le j’eus, je mens ? — Quel jugement !

Le jour fut d’abord une petite ouverture, un simple trou. Viens au jour de huis, viens aujourd’hui. On appelait donc ainsi à une ouverture dans la porte, une chatière. Au jour dû ist, c’est le jour dû ; ce jour dû ist, ce jourd’hui voici la vérité, au jour dû ist ; c’est le grand jour, c’est l’ouverture du jugement, au jour dû ist, il est prêt. Il faut s’expliquer. Ist le feu haut, sais que ce peux liquer, sexe peux liquer. Il va s’exténuer, sexe t’ai nu, ait. Ils sont toujours à s’exciter, à sais que ce y t’ai ? à sexe ist t’ai.

Et c’est là le livre scellé de sept sceaux, écrit en dehors et en dedans, je l’ai ouvert souverainement, ce ouvert est, ne mens ; bien certes est, ne mens ;