Page:Brossard - Correcteur typographe, 1924.djvu/336

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31. c) Enfin, on a combiné en un seul les deux signes précédents (nos 29 et 30) : au trait vertical on a ajouté, soit en bas, soit en haut, à droite ou à gauche, le , dans sa position naturelle ou renversée :

E. Leclerc emploie la première forme de ces divers signes.

H. Fournier et L. Chollet se servent également de ce signe (lignes 3 et 17) ; mais L. Chollet emploie aussi, sans doute pour différencier les renvois, le signe ; et H. Fournier, le trait vertical simple.

Daupeley-Gouverneur utilise, (ligne 4) cette même forme entre deux mots « à séparer » (ligne 6, nous l’avons vu, le signe indiqué est  ; pour un « bourdon » (un mot omis), il fait emploi (ligne 14) du trait vertical simple terminé à la base par un trait horizontal :


antérieurement (ligne 9), pour une correction semblable, ce même auteur utilise le trait simple de renvoi () sans modification.

— Sans indiquer ses préférences, D. Greffier constate l’existence de trois signes différents :


mais, dans son protocole, il emploie pour des « lettres à ajouter », le signe


pour un « mot à ajouter », le signe


et, enfin, pour des « mots oubliés » (bourdon), le signe


cependant que, dans ses commentaires, il ne signale nullement l’emploi de ces deux derniers signes.