Page:Brossard - Correcteur typographe, 1924.djvu/362

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pagnés une seule fois du signe de correction de l’espacement, si aucune autre correction ne se rencontre dans la ligne :


au cas contraire, chaque trait de renvoi doit être accompagné du signe de correction qu’il appelle.

49. Interlignes à ajouter dans le texte, ou blancs à augmenter dans les titres : Entre les lignes dont l’intervalle de composition est à modifier, on figure à l’extrémité de la justification le signe :

À la suite de ce signe, dans la marge, le correcteur doit indiquer quelle correction doit être effectuée : interligner, ou blanc 3 points, 6 points, etc.
xxxx Quelques correcteurs méticuleux répètent dans la marge le signe de l’espacement suivi du trait de renvoi et accompagné de l’indication nécessaire :


ou :

— D. Greffier figure ce signe tel qu’il est donné ici : un trait horizontal d’une longueur du tiers ou au plus de la moitié de la justification, placé entre les deux lignes, à l’extrémité droite, et traversé par un double trait vertical se trouvant dans la marge ; le signe n’est pas répété dans la marge.

— Au lieu du double trait vertical, l’Agenda Lefranc emploie un simple trait :


il répète dans la marge le signe caractéristique de la correction, mais sans l’accompagner d’un trait de renvoi.

— Th. Lefevre, Daupeley-Gouverneur, H. Fournier, Breton et Jean