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Page:Brossard - Correcteur typographe, 1924.djvu/363

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LES SIGNES DE CORRECTION
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Dumont prolongent le trait horizontal sur toute la longueur de la ligne de texte et terminent chacune des extrémités, en dehors du texte, par un double trait vertical ; le signe n’est pas répété dans la marge :

L’Annuaire Desechaliers trace le trait horizontal sur toute la justification ; l’extrémité gauche seule porte un trait vertical :

E. Leclerc emploie le trait horizontal sur toute la longueur de la justification ; une seule des extrémités de ce trait porte l’indication spéciale de la correction à effectuer : au lieu du double trait vertical, cet auteur utilise, en le plaçant sur le trait débordant légèrement dans la marge, le signe d’ « espacement à ajouter » :

Le signe n’est pas répété dans la marge, mais il est accompagné du trait particulier de l’omission :

Tassis, comme les divers auteurs qui précèdent, utilise le trait horizontal de longueur égale à celle de la justification ; l’extrémité débordant dans la marge où sont reportées les corrections porte un triple trait vertical, dont la signification symbolique échappe :

Le signe n’est pas répété dans la marge.

Desormes différencie le « blanc à mettre » et « l’interligne à mettre » : sur la moitié environ de la justification, il emploie pour le premier le signe :

Entre Salde (Bougie) et Rusginæ (cap Matifou), les