que, dans le texte du protocole, le signe indicatif d’un « alinéa à faire » est représenté par
dans la marge ce signe est figuré par un rectangle :
accompagné du trait de renvoi :
Aucun autre auteur ne donne, pour la correction de « l’alinéa à faire », une figuration approchante. Celle-ci, d’ailleurs, ne s’explique nullement : elle est en contradiction avec l’idée qui a présidé au choix des signes conventionnels de la correction, que l’on a voulu essentiellement symboliques, c’est-à-dire indiquant à leur seul aspect la correction à effectuer. — À notre avis, dans cette figuration inattendue il faut voir seulement le résultat d’une erreur ou d’un manque d’attention ; puisque, pour « l’alinéa à rentrer », c’est-à-dire à repousser, à ramener vers la droite de 1 ou de 2 cadratins — correction que l’on peut, sans doute, estimer procéder de la même idée que la précédente — notre auteur
accompagné du trait de renvoi.
Enfin, lignes 3 et 5 de la page 2 de son protocole, pour deux fins de justification « à aligner » — très exactement à ramener vers la droite— Desormes imagine le signe
combinaison de deux signes
superposés, — signes qui sont indiqués par tous les auteurs pour les « textes, mots ou lettres à ramener vers la gauche ».
D’ailleurs, Desormes lui-même, à la ligne 18 de cette même page, emploie ce même signe