de composition défectueuse à rectifier ; dans la marge, ils répètent le signe, en inscrivant à la suite la mention nécessaire :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/e/e9/Brossard_-_Correcteur_typographe%2C_1924_%28page_377_A_crop%29.jpg/400px-Brossard_-_Correcteur_typographe%2C_1924_%28page_377_A_crop%29.jpg)
ou simplement, sans répéter le signe :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/74/Brossard_-_Correcteur_typographe%2C_1924_%28page_377_B_crop%29.jpg/125px-Brossard_-_Correcteur_typographe%2C_1924_%28page_377_B_crop%29.jpg)
Le compositeur doit alors effectuer au mieux le remaniement demandé et laissé à son appréciation. — Mais le correcteur a le devoir de s’assurer que le remaniement a été exécuté dans des conditions convenables et suivant toutes les règles ; fréquemment, en effet, si le compositeur n’est ni intelligent ni consciencieux — ces choses se rencontrent, quoi qu’on dise — le mal s’est aggravé au lieu de disparaître.
V. — Lettres supérieures et apostrophes.
66. Les lettres supérieures et l’apostrophe s’indiquent par un ou deux traits verticaux placés sous la lettre ou le signe :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/9b/Brossard_-_Correcteur_typographe%2C_1924_%28page_377_C_crop%29.jpg/200px-Brossard_-_Correcteur_typographe%2C_1924_%28page_377_C_crop%29.jpg)
Dans le texte, pour appeler la correction, on utilise, de manière générale et suivant les circonstances, le trait de renvoi de la coquille ( / ), sous ses différentes formes (voir n° 19), s’il s’agit de lettres à remplacer, ou celui du bourdon ( λ ), s’il s’agit d’une omission. — Le trait de renvoi est répété dans la marge où il accompagne la correction convenable :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/e/ef/Brossard_-_Correcteur_typographe%2C_1924_%28page_377_D_crop%29.jpg/300px-Brossard_-_Correcteur_typographe%2C_1924_%28page_377_D_crop%29.jpg)