67. Par contre, les lettres et signes inférieurs s’indiquent par un ou deux traits verticaux[1] placés au-dessus de la lettre ou du signe :
On suit, pour l’emploi du trait vertical de correction convenable, les règles exposées au numéro 66 ; en marge, le signe de renvoi accompagne toujours l’indication de la correction.
— E. Desormes, Dumont et G. Daupeley-Gouverneur emploient, pour l’une comme pour l’autre des deux corrections précédentes (nos 66 et 67), deux traits au-dessus ou au-dessous de la lettre ou du signe.
— E. Leclerc, qui, dans une circonstance, emploie un seul trait pour chaque lettre supérieure :
utilise deux traits pour l’indication d’une apostrophe (voir, ci-dessous Tassis).
— Didot, Th. Lefevre, l’Agenda Lefranc, H. Fournier, V. Breton et D. Greffier utilisent un seul trait.
— L. Chollet dont, pour les raisons dites antérieurement, le protocole devrait être semblable à celui de Fournier — emploie deux traits.
— Tassis, pour une « correction d’apostrophe », se sert d’un seul trait :
puis, pour une « supérieure à rehausser », il crée un signe, sans doute suffisamment explicite, mais qui n’est signalé par aucun autre auteur :
cependant que Leclerc, pour une « apostrophe », emploie dans le texte (ligne 17) un signe nouveau, mais contraire à celui de Tassis :
- ↑ Nous assimilons aux traits verticaux la troisième forme de l’exemple.