Page:Brossard - Correcteur typographe, 1934.djvu/13

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sition sont, en dehors des quelques obligations auxquelles ils ne peuvent heureusement se soustraire, sujets à trop de fantaisies, pour que nous ayons songé à entreprendre un tel travail.

Nous avons été heureux de trouver auprès des Établissements Marinoni, de la Fonderie Deberny et Peignot, de la Maison Buhler Frères, de la Société anonyme « Monotype » et de M. Grenet, président de la Société amicale des Protes et Correcteurs d’imprimerie de France, le meilleur accueil et une aide efficace pour la mise au point de nombreuses questions.

En terminant, nous devons remercier ici bien vivement tous ceux — et particulièrement la Société anonyme du Petit Écho de la Mode — qui nous ont permis de mener à bien, et dans des conditions exceptionnelles, ce travail. Si le résultat n’est pas aussi convenable que nous l’aurions désiré, la faute nous incombe à nous seul.


L. B.
1er mai 1934.